~♥ IDENTITY ♥~
NOM : Kalego
PRÉNOM : Samira
SURNOM : Somie
ÂGE : 17ans, depuis bah... deux jours.
ORIGINE : Yokohama
ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro (enfin, elle s\'en fout mais être touchée par une femme la répugne alors... ^^)
~♥ CHARACTER ♥~
SITUATION FAMILIALE ET AMOUREUSE : Familiale j\'ai plus personne, et amour bah... j\'ai jamais eu personne.
PHYSIQUE : Samira peut paraître gentille, en tout cas son visage doux et souriant pourrait le faire penser. Elle a de longs cheveux noirs, avec quelques mèches courtes qui passent devant ses épaules. Ses yeux oranges aux multiples reflets lui donnent un regard assez intense, bien que peu expressif. Très peu de personnes peuvent se vanter de savoir lire dans son regard. Ses vêtements n\'ont pas changé depuis son arrivée : dans des tons noirs, avec bien sûr un col blanc pourvu d\'un noeud simple, ils sont tout ce qu\'il y a de plus banal. Elle porte aussi un serre-tête assorti dans les cheveux. Ses sourcils sont toujours droits, ses lèvres toujours étirées en forme de sourire, dans toutes les situations. En vérité, il semble que son visage est toujours fixé dans la même expression. C\'est pour ça qu\'il est totalement impossible de s\'y fier. En bref, Somie est une fille d\'apparence banale, toujours souriante quelles que soient les circonstances.
CARACTÈRE : Comme dit précédemment, Samira peut paraître gentille.
Peu paraître, par contre, ce qu\'il en est réellement est bien loin de la gentillesse.
Égocentrique, vaniteuse, rancunière, calculatrice et manipulatrice, elle semble avoir récupéré tous les défauts du monde.
Somie trouve son plus grand plaisir dans la manipulation, ce que son visage amical lui facilite. Sa passion ? Utiliser les gens à ses intérêts, et tout faire pour rester bien tranquillement assise dans son coin à regarder les autres agir à sa place. Et malgré tout ça, elle se considère toujours comme la meilleure.
Autre trait flagrant chez elle, elle a une mémoire incroyable, qui lui permet de se souvenir des moindres petites choses négatives que lui ont fait les gens. Rien ne lui échappe de ce côté-ci, et vous pouvez être sûrs qu\'à la moindre petite vexation, elle vous en voudra pendant
au moins deux ans. Ah oui, et elle se fiche des sentiments des autres comme de sa première chaussette, elle est la seule qui compte c\'est aussi simple que ça. Elle a aussi un certain penchant pour les coups en pleine figure (comprenez par là qu\'elle adore frapper les gens). Tout ça explique facilement pourquoi elle n\'a jamais eu d\'amis. Il lui arrive également d\'avoir des crises de démence qui ne se calment qu\'après avoir éventré tout ce(ux) qui passe à sa portée. Et s\'il y a bien une chose qu\'elle ne supporte pas, c\'est qu\'on la touche. Trop de mauvais souvenirs y sont liés.
Oh bien sûr, elle a quelques qualités. Par exemple euh...
HISTOIRE : Samira a grandi au Japon, dans une famille de riches bourgeois qui l\'insupportait totalement, entre les règles de savoir vivre, les bals organisés par ses parents, les repas en solitaire à cause de leurs rendez-vous, la petite soeur insupportable deux ans plus jeune qu\'elle qu\'ils lui collèrent sur les bras, les cours de chant et de musique avec des profs particuliers beaucoup trop entreprenants bref, le train-train habituel. Ce n\'est que lorsque son professeurs de sabre, celui-là même qui lui offrit le court sabre qu\'elle porte sur elle en permanence, se fit beaucoup trop proche d\'elle qu\'elle péta vraiment un plomb. Alors qu\'il s\'apprêtait à_oui disons le franchement_ la violer, elle lui planta son sabre dans la poitrine. Il eut un hoquet sanglant puis s\'écroula.
Là commença la période de démence de la petite fille qu\'elle était à l\'époque, elle devait avoir aux alentours de 7-8ans. Une chance pour ses parents qui étaient absents, elle ne détruisit que du mobilier, du mobilier extrêmement cher certes, mais au moins elle n\'éventra rien d\'autre que 30 oreillers, 10 matelas, trois armoires et une bonne dizaine d\'objets de plomberie. Quand ses parents rentrèrent, elle se prit la raclée de sa vie, qui n\'eut pour seule autre réaction qu\'une légère déformation de son sourire. C\'est donc couvertes de bleus et de meurtrissures qu\'elle se retira dans sa chambre ce soir-là, sans manger. Et c\'est aussi ce jour-là que toute expression disparut de son regard.
Le lendemain, se levant à grand peine, elle tomba nez à nez (ventre à nez plus exactement) avec cette insupportable gamine qu\'était sa petite soeur. Elle serra les dents et les points et tenta de lui lancer un regard sanglant, mais aucune expression ne prit place dans ses yeux. Seule de larmes de rage parvinrent à naître sur son visage. Puis elle contourna la petite sans un regard vers elle, son sabre attaché à la taille.
A l\'âge de treize ans, elle avait déjà le corps d\'une jeune adulte, et elle dut repousser les avances de ses profs de dessins, violon, chant et autres futilités mondaines. Même certaines femmes parmi ses professeurs particuliers tentèrent de l\'approcher d\'un peu trop près. Elle grilla un fusible quand une de ces femmes tenta de l\'embrasser. Somie la tue d\'un coup bref, avec l\'archet de son violon, qu\'elle tenait justement dans la main à ce moment-là. Le coup porta au même endroit que sur le professeur de sabre, et le résultat fut le même. Sauf que ce jour-là, sa petite soeur était présente. Et c\'est sur elle que Samira défoula sa folie meurtrière, ainsi que sur un nombre incalculable de peluche, et sur les oreilles des voisins proches, rapport à ses cris de rage. Mais les cris les plus retentissant furent ceux de ses parents quand il découvrirent le corps sans vie et sanglant de Solea (c\'est le nom de sa soeur), et le sang qui recouvrait l\'archet de violon que Samira tenait toujours dans sa main tremblante. Les coups qu\'elle se prit cette nuit-là dépassèrent de loin le niveau des précédents, et ce malgré les larmes et mots d\'excuse qu\'elle parvint à prononcer. Et c\'est nue et couverte de sang qu\'ils la laissèrent, seule dans la cave du manoir, secouée de sanglots incontrôlable. Elle ne pleurait pas par regret, elle pleurait parce qu\'elle venait d\'une comprendre une chose qui l\'effrayait : elle n\'éprouvait aucun remord d\'avoir massacré sa soeur, ni d\'avoir fait souffrir ses parents. Son égocentrisme naquit de cette nuit de souffrance et de larmes. Son goût pour la manipulation vint plus tard.
Bien sûr, les professeurs particuliers de la jeune fille n\'étaient au courant de rien à propos de ses crises de démence, et aucun ne se doutait qu\'à force de la draguer, ils finiraient tous par y passer. D\'autant que personne ne pouvait déceler sa tristesse à cause du permanent sourire figé sur son visage. Donc elle se plaignait de ses souffrances, la nuit, hurlant tel un loup à la lune. Puis ses parents la laissèrent quitter la maison à des horaires fixes, sans doute pour se débarrasser le plus possible de ce danger public. C\'est ainsi qu\'elle découvrit l\'extérieur...
Et avec l\'extérieur, les milliers de possibilité qui s\'offraient à elle. D\'abord, elle rencontra des gens, des personnes tout à fait respectables bien sûr, mais qu\'il pouvait être facile de manipuler. Elle imagina des tonnes de plans pour se débarrasser de tous ces profs trop entreprenants, et parvint à obtenir de ses parents qu\'ils l\'inscrivent dans une école privée pour enfants de bonne famille. Mais même là, elle eut à supporter les avances d\'hommes divers, la plupart du temps des classes supérieures. Et ce qui devait arriver arriva : un jour, ils la suivirent sur le chemin du retour, et tentèrent de s\'approprier son corps contre sa volonté. Elle ferma les yeux puis les ouvrit les dents serrées. Alors qu\'ils tentaient de l\'immobiliser, elle parvint à atteindre le sabre accroché à sa taille. Ils ne s\'en relevèrent pas. Mais sa plus grande crise de folie fut le jour de ses dix-sept ans. Lors du bal organisé en son honneur, quelqu\'un fit l\'énorme erreur de lui donner un coup de coude, sans le vouloir mais cela suffit à provoquer sa colère. Beaucoup de personnes perdirent la vie ce soir-là, elle comprise. Totalement trempée de sang, elle s\'avança vers ses parents, totalement terrorisés par la folie qui se reflétait dans les yeux de leurs filles, seuls émotion qu\'ils étaient capables d\'afficher. Pourquoi l\'avaient-ils fait si belle, si attirante ? Ses reproches tournaient tous autour de ça. Puis elle ferma les yeux, et hurla un je vous hais avant de les tuer. Des larmes haineuses coulaient le long de ses joues, nettoyant le sang qui le tâchait. Elle n\'en pouvait plus. Tâtonnant dans la marre de sang qu\'était devenu le sol de la pièce, elle parvint à récupérer son sabre. Elle se le planta directement dans l\'estomac, ne pouvant transpercer les trois livres posés contre sa poitrine. Mais était-ce vraiment ça qui l\'avait tuée ou le fait d\'être restée trop longtemps immobile avec le sang qui coulait de son corps. Elle ne le saura jamais. De toute façon, elle a totalement oublié comment elle était morte. La seule chose qu\'elle garde, c\'est une douleur fréquente au ventre. Puis elle s\'est retrouvée dans une pièce bizarre, et y est restée deux jours sans bouger, malgré le fort attrait qu\'exerçait cette porte sur elle. Puis, elle a fini par tourner la poignée...(20 lignes minimum)
VOTRE BUT DANS LE JEU : Tout contrôler. Tout, absolument tout *regard dément*
AUTRE : Son arme est un sabre à lame assez courte, avec un manche plutôt long. En fait, le fourreau est de la taille du manche plus de la lame.
~♥ FOR PLAYING ♥~
GROUPE AUQUEL VOUS SOUHAITEZ APPARTENIR : Raspberry
VOULEZ VOUS UNE DEMEURE (seulement pour ceux qui ont passé au moins deux mois dans le monde du miroir et les habitants du monde, vous pouvez habiter soit dans le pumkin\'s village, ganny village ou le village gris)
VOULEZ VOUS UN RANG PERSONNALISÉ ? (si oui, que voulez vous?) †Blood† & †Manipulation†
~♥ AND YOU ♥~
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? Par une amie
QU\'EN PENSEZ VOUS ? J\'adore le design, et l\'histoire m\'inspire vachement (c\'est rare, je précise ^^)
DES SUGGESTIONS ? Hm... il n\'y a rien qui me vient là ^^
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