~♥ IDENTITY ♥~
NOM : Barker
PRÉNOM : Benjamin
SURNOM : Sweeney Todd
ÂGE : 36 ans
ORIGINE : Londres
ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel
~♥ CHARACTER ♥~
SITUATION FAMILIALE ET AMOUREUSE : ...A foolish barber and his wife, and she was beautiful...Que pourrais-je vous dire? Il fut un temps ou j'étais marié, ou j'avais une fille. Toutes deux étaient plus belles qu'un jour naissant, elles étaient ma raison de vivre, le soleil de mes jours...et elles m'ont étés arrachées. Ensuite j'ai crus aimer à nouveau, mais c'était un mensonge...je l'ais brulée vive après avoir égorgé ma femme...ma Lucy... Depuis l'amour m'est interdit.
PHYSIQUE : ...It was a barber and his wife, and he was beautiful...Que dire de moi? Des cheveux noirs parfaitement entretenus, après tout le contraire serait une honte étant donné ma profession, une peau pale, presque cadavérique, des yeux rouges, et une figure qui ne sait que haïr ou désespérer. Je n'ai pas toujours été comme ça. A mes vingt ans de grands yeux bleus éclairaient un visage qui souriait au monde. Mais quinze années passées au bagne ont prélevées leur tribu. Ma peau à blanchie de ne pas assez voir le soleil, mes yeux sont devenus rouge suite à une maladie contractée dans le noir, et le rire à déserté mon visage. Mais il faut croire que malgré tout je suis chanceux. J'ai toujours parus bien plus jeune que mon âge, et malgré la prison je n'ai pas perdus cette caractéristique. Ce qui me donne, quand je m'y force, l'air avenant et sympathique, mais je n'ai plus de raison de m'y forcer. Pour finir cette description de moi même, précisons que je mesure en 1m78, que je suis plutôt musclé, même si j'ai une morphologie frêle, et que je suis en général vêtu de la manière distinguée qui convient à ma profession.
CARACTÈRE : ...A real artist with his knife...Il fut un temps où j'étais un homme de bien, où j'aimais mes contemporains, où, pour paraphraser un vieil amis, je m'efforçais de faire de mon mieux pour mes amis et mes voisins. Un temps où j'aimais ma tendre épouse Lucy et chérissais ma fille Johanna. Mais je les ais perdus. Et j'ai vus la réalité du monde et des gens. Depuis...comment dirais-je? Je suis un vide assoiffé de mort. Nous méritons tous de mourir, et j'apporte aux gens ce qu'ils méritent, en attendant que l'un d'eux m'apporte ce que je mérite. Avant je faisais cela par vengeance, mais depuis que je l'ai tué elle et que je suis mort...et que je suis passé dans le monde du miroir...Je tue car c'est tout ce qu'il me reste.
Sachez que je vous hais, tous autant que vous êtes, et que tout ce que je désire de vous c'est votre mort. Je serais charmant, serviable, mais tôt ou tard ma lame trancheras votre gorge. Seul les couples et les enfants seront épargné, car l'amour et l'innocence protègent de la corruption du monde, et vous autorisent un sursis.
HISTOIRE : ...There is no place like London...Je suis née Benjamin Barker, à Londres, en 1852. Il n'y a que peu de choses, voir rien à dire, sur mes parents. Petits artisans de la banlieue de Londres, ils firent leur possible pour m'apporter nourriture, chaleur et éducation. Et ils y parvinrent. Je suis ensuite devenus apprentis chez un barbier qui m'a appris mon art. Il m'a appris qu'une lame affutés et une grande concentration sont les meilleurs atouts d'un barbier. Cette période est la plus heureuse de ma vie, et de loin. Au cours de mon apprentissage je fis la connaissance de Lucy, mon premier et unique amour. Elle était apprentie également, chez une couturière, et nos maître et maîtresse se connaissaient. Elle était plus belle que l'aurore même et je tombais éperdument amoureux d'elle au premier regard. Certaines âmes, paraît-il, sont prédestinée à s'aimer. C'était peut-être le cas pour Lucy et moi, car très vite elle me rendit un amour aussi passionné que le mien.
Nous finîmes nos apprentissages respectifs et nous nous marièrent. Je me souviens...la cathédrale de Whitechapel. Ses parents étaient là, les miens avaient déjà péris malheureusement. Je me rappelle le sourire approbateur de mon beau-père, il était fier du partis que j'étais pour sa fille et sa fierté me remplissait de bonheur. Quelques jours après le mariage, j'ouvrais mon salon. Dans un local au dessus d'une fabrique de tourtes tenue par la mère et la fille Lovett, des amis de la famille de ma chère Lucy qui acceptèrent de me le louer pour une bouchée de pain. Très vite je me fis une réputation car j'étais, en toute modestie, le meilleur de Londres dans ma partie, et bientôt, de l'East End à Westminster, tout le monde savaient que pour la barbe personne n'égalait le jeune Barker de Fleet Street. Je finis par attirer dans ma clientèle le juge Thurpin, ce dont j'étais très fier, qui allait s'avérer être l'émissaire de ma fin. Le porc aperçu un jour Lucy qui était venus me rendre visite avec notre petite Johanna, notre fille d'un an. Il la désira immédiatement. Il se mit à nous suivre, accompagné de son âme damnée, le baillis Bayforth. Et un jour, alors que nous étions en famille sur le marché, il frappa. Deux bobbies (les policiers de Londres, pour les non-anglais qui me liraient) me prirent par surprise et me frappèrent avant de m'embarquer...ce fut la dernière fois que je vis ma femme en vie.
Je fus envoyé aux Indes, dans une mine de nickel, où j'allais passer les quinze années suivantes. Alors que chaque jour je m'épuisais à la tache dans les ténèbres qui rongeaient mon corps, les mêmes ombres s'infiltraient dans mon âme. J'allais retrouver ma femme et ma fille, et je me vengerais de celui qui avait détruit ma vie. Je finis par m'évader, d'une façon si odieuse que moi-même ose à peine m'en souvenir. Je rejoins un équipage marchand, en tournée à travers le monde, qui devait revenir à Londres à la fin de son périple. Je devins rapidement maître d'équipage, et pris sous mon aile un jeune mousse idéaliste du nom de Jaimie. Ce garçon était pur et ne voyais que merveille dans le monde. Sa naïveté me désolait mais il me rappelait ce que j'étais dans mes jeunes années. Après une année sur les mers, nous abordâmes enfin les pontons purulents de la tamise, dans ce bourbier innommable que je pouvais maintenant contempler dans toute son horreur, la putride cité de Londres.
La vengeance au coeur je me dirigeais vers Fleet Street et la fabrique de tourte des Lovett. Seul la jeune Miss Lovett la tenait encore et alors qu'elle me servait, sans me reconnaître au premier abord, je dus bien admettre que ses tourtes étaient sans aucun doute les plus mauvaises de Londres. Elle finie par me reconnaître et je lui demanda ce qu'il était advenu de ma famille. Elle m'appris qu'après mon arrestation ma Lucy s'était enfermée chez nous pour échapper aux assiduités du juge et, après quelques mois, succomba aux désespoir et ingéra une fiole de poison afin de mettre fin à ses jours.
VOTRE BUT DANS LE JEU : AUTRE : ~♥ FOR PLAYING ♥~
GROUPE AUQUEL VOUS SOUHAITEZ APPARTENIR : Lidonberry
VOULEZ VOUS UNE DEMEURE Dans le village gris. Une petite échoppe de barbier/coiffeur.
VOULEZ VOUS UN RANG PERSONNALISÉ ? "The demon barber of Fleet Street" si possible.
~♥ AND YOU ♥~
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? Par une amie (Charlotte Attwell)
QU'EN PENSEZ VOUS ? Pour l'instant ça l'air bien, l'univers est accrocheur en tout cas.
DES SUGGESTIONS ? Pas pour l'instant, peut-être jamais.
CODE : New Day
AUTRE CHOSE À AJOUTER ? Pas vraiment.
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